Référencement, Design et Cie

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10/02/2010

Cours sur le référencement n°6 : travailler sa popularité

Dans ce cours, j'explique l'importance des liens pour un bon référencement, en abordant les notions de popularité et de "linkjuice". J'expose ensuite quelques bonnes pratiques pour la création de liens entrants. Les SEO avancés et autres ninjas n'y découvriront rien, il s'agit surtout de donner de bonnes bases à un public de non-spécialistes ;)


3/02/2010

Cours sur le référencement n°5 : optimiser son contenu

Un cours où il est question de lecture à l'écran et d'écriture web orientée référencement.


28/01/2010

Cours sur le référencement : Partie 4 (structure et SEO)

Déjà le quatrième cours sur le référencement ! Le temps passe vite... Cette présentation traite de l'optimisation structurelle des sites web pour le référencement. La semaine prochaine, nous aborderons la lecture à l'écran et l'optimisation éditoriale.


15/01/2010

Apéro référencement à Lille le 4 février

Blog en Nord et l'association SEO Camp organisent conjointement un apéro référencement à Lille le jeudi 4 février à partir de 19h30. L'endroit choisi pour cette édition est la Bonnetterie, à proximité de la grand-place et de l'opéra et à quelques minutes à pied de la gare Lille-Flandres.

Les représentants de SEO Camp y parleront notamment du prochain SEO Campus et de la certification CESEO.

6/01/2010

Cours sur le référencement : première partie (notions fondamentales pour le SEO)

C'est aujourd'hui que j'ai eu l'occasion de donner mon 1er cours aux étudiants du Master IDEMM. En voici le support. Rien de transcendant, il s'agissait surtout dans ce cours introductif de montrer que le web a une longue histoire, et de fixer quelques notions fondamentales, histoire de partir sur de bonnes bases. Prochain support la semaine prochaine :)


22/12/2009

Le référencement fait il partie de l'expérience utilisateur ?

Dans son dernier billet, réagissant à un diagramme publié par Nick Finck, Frédéric s'interroge sur le lien entre SEO et expérience utilisateur.

De mon point de vue de référenceur, la réponse est assez évidente : l'expérience utilisateur n'est pas l'objectif premier du SEO. Par contre le SEO peut affecter positivement ou négativement celle-ci. L'expérience utilisateur doit donc être considérée dans toute démarche de référencement. J'explique d'ailleurs souvent que le référenceur à deux clientèles à satisfaire : ses clients directs (ceux qui le paient), et les clients de ses clients.

Les moteurs de recherche sont devenus la porte d'entrée du web. Les pages de résultats des moteurs constituent ainsi bien souvent le premier point de contact entre l'utilisateur et l'éditeur d'un site. On peut donc à juste titre parler d'expérience utilisateur, puisqu'il y a bien une interaction entre la marque, ou le service, et l'utilisateur, même si cet utilisateur n'a pas encore accédé au site. L'expérience utilisateur peut avoir lieu ou pas selon que le site apparaît ou non dans les pages de résultats des moteurs de recherche pour la requête tapée. Cette expérience peut aussi être positive ou négative, selon que "l'odeur de l'information" est présente ou pas dans le titre et dans le snippet. Si l'odeur de l'information est absente, ou trop faible, cela se traduira par un moindre taux de clics, et donc par un abandon prématuré du panier de conversion, avant même que le site ait été accédé. L'expérience utilisateur pourra aussi être qualifié de négative si la promesse faite dans le titre et le snippet n'est pas tenue, par exemple du fait de l'usage de techniques de positionnement déceptives. Ce type d'expérience est le plus destructeur, puisque l'utilisateur pourra manifester un biais négatif envers le site lors de ses recherches futures.

16/12/2009

Retour à la fac...

Mais en temps que chargé de cours ! En effet, à compter du 6 janvier prochain, je serai amené à donner des cours dans le cadre du module "référencement" du Master IDEMM proposé par l'université de Lille 3. C'est une grande nouveauté pour moi et je ne vous cacherai pas que je suis quelque peu stressé :) Si je donne régulièrement des formations au référencement dans le cadre professionnel, c'est la première fois que je m'adresserai à des étudiants, et ce sur une durée de 20 heures.

Je publierai certainement mes supports de cours. En attendant, permettez moi de vous offrir le tout premier slide du tout premier cours, une brève histoire de l'internet et des moteurs de recherche (PDF), vue par un référenceur ;)

Google supporte les balises link rel="canonical" inter-domaines

Proposée par les principaux moteurs de recherche depuis février 2009, la balise link rel="canonical" permet de spécifier l'URL principale d'un contenu dans les cas où celui-ci est dupliqué sur plusieurs pages. Jusque ici, la balise ne fonctionnait qu'à l'intérieur d'un domaine.

Désormais, il est possible d'utiliser la balise canonical pour gérér la duplication de contenus entre plusieurs domaines. Le fonctionnement reste inchangé : il suffit simplement d'insérer dans le <head> des pages dupliquée le code <link rel="canonical" href="URL" /> en remplaçant "URL" par l'adresse de la page canonique (c'est-à-dire celle devant être indexée par les moteurs).

Dans son billet, Google précise qu'avant de recourir à cette technique, il convient autant que possible d'éliminer la duplication de contenu, et que concernant les migrations de pages, les redirections 301 (redirections permanentes) restent encore la meilleure solution, la balise rel="canonical" n'étant qu'indicative.

Quelques précisions sur le bon usage du rel="canonical" sont également apportées :

  • Les pages canonicalisées n'ont pas à être strictement identiques, mais elles doivent être similaires.
  • Il est déconseillé de spécifier une même URL générique (par ex la homepage d'un site) pour des pages spécifiques.
  • Il est permis pour les sites proposant du contenu à syndiquer de demander aux sites reprenant son contenu d'utiliser le rel="canonical".
  • Il ne faut pas bloquer l'indexation des pages dupliquées car le contenu de la balise canonical ne pourrait alors pas être pris en compte.

7/12/2009

Google généralise la personnalisation des résultats

Google a annoncé vendredi dernier étendre à l'ensemble des internautes la personnalisation de ses résultats de recherche. Jusque ici, la personnalisation des résultats n'était proposée qu'aux utilisateurs Google loggés et ayant activé l'historique de recherche.

Désormais tout utilisateur effectuant une recherche sur le moteur se verra proposer des résultats personnalisés tenant compte des recherches effectuées et des sites visités durant les 180 derniers jours. L'identification des utilisateurs se fera par un cookie anonyme. Notez qu'il reste possible de désactiver la personnalisation des résultats (chose que je ferai personnellement, préférant garder le contrôle et sachant à priori mieux qu'un algorithme ce que je cherche).

Est-ce que cela change quelque chose pour le référencement ?

On pourrait être tenté de crier (une fois encore) à la mort du référencement, chaque internaute se voyant dorénavant servir une page de résultats potentiellement différente. Mais ce n'est pas si simple. En fait, je pense que la personnalisation des résultats n'a rien de cataclysmique. Effectivement, c'est très probablement la mort du bilan de positionnement comme moyen unique de mesure de la performance du référencement Mais très franchement, cela fait longtemps que les référenceurs sérieux accordent une importance toute relative à ces fameux bilans, reportant leur attention sur la mesure du trafic et des conversions.

Je pense toutefois que la mesure des positions reste un indicateur utile, quand elle est bien interprétee. D'abord, les résultats personnalisés ne sont qu'un réarrangement des résultats standards : pour être visible au sein des résultats personnalisés, il faut donc jouir d'une bonne visibilité dans les résultats non personnalisés. De plus, la mesure des positions pour un échantillon représentatif de mots-clés permet de dégager des tendances : si un site remonte sur des expressions bien choisies dans les résultats non personnalisés, alors son potentiel de visibilité dans les résultats personnalisés augmentera également. Ainsi, je ne pense pas que la notion de positionnement soit à abandonner ; elle est juste à moduler.

Enfin, il reste à voir quelle sera l'étendue effective de la personnalisation des résultats. Les requêtes navigationelles seront très vraisembablement les plus affectées : les sites placés initialement à une position "n" et cliqués systématiquement par l'utilisateur pour une requête donnée seront désormais en 1ère position. Cela ne change pas grand chose pour les éditeurs de sites web, car l'internaute savait de toute façon quel site il recherchait. Et c'est plutôt une bonne chose pour l'utilisateur. Pour les autres types de recherche, difficile de préjuger de l'impact, surtout quand on sait que 20 à 25% des recherches sont des requêtes qui n'ont jamais été tapées auparavant. Il serait intéressant d'étudier sur une longue période et sur un large échantillon d'utilisateurs la variance des pages de résultats. Je ne serais pas surpris qu'on s'aperçoive que les résultats présentent plus de similarités que de différences.

4/12/2009

4 blagues SEO pour finir la semaine

Compilation de quelques blagues supplémentaires publiées sur Twitter. Promis j'arrète ;)

  • Quelle différence entre un SEO et un magicien ? Le SEO lui peut véritablement vous faire disparaître .
  • Quelle est la pastille menthe préférée des SEO ? Fisherman's friend : it's a bit <strong>
  • Comment appelle-t-on un dîner programmé tous les jours à la même heure ? Un diner de CRON.
  • Quel est le point commun entre Geneviève de Fontenay et un SEO ? Quel que soit son chapeau, celui-ci est rarement 100% noir ou 100% blanc.

2/12/2009

Google Actualités aménage le "First Click Free"

Le "First Click Free" proposé par Google depuis 2008 aux sites d'actualités en accès restreint vient de faire l'objet d'une révision.

Jusque ici, les sites participant au programme étaient tenus d'autoriser les internautes ayant trouvé un article via Google à en consulter le texte intégral, même s'ils n'étaient pas pas inscrits ou abonnés. Tout le monde devait y gagner : Google en ayant un index plus exhaustif, les internautes en ayant accès gratuitement aux contenus, et les éditeurs en attirant des internautes incités à se transformer en abonnés. Un problème qui s'est rapidement posé cependant est que le système étant basé sur les referers, il était très facile de le contourner, et donc d'accéder à l'intégralité du contenu des sites. Désormais, les éditeurs participant au programme First Click Free auront la possibilité de limiter à 5 les nombre de consultations d'articles par visiteur et par jour. Cette protection devrait être un peu moins facile à contourner, en tout cas pour la majorité. Reste à savoir si le choix du First Click Free est bien le plus pertinent...

30/11/2009

7 blagues SEO pour bien commencer la semaine

Inspirées par à un twitt de Lionel, quelques blagues SEO improvisées vendredi dernier sur Twitter et rassemblées ici :

  • Comment obtenir des titres qui tuent pour votre référencement ? Engagez un as <h1> !
  • Quelle est la différence entre un (mauvais) SEO et un bègue ? Le SEO met des balises autour de ses mots.
  • Comment appelle-t-on une opération de buzz qui dégénère à Paris ? Du link-bète.
  • Comment nomme-t-on des robots capables de parcourir le web plus rapidement ? Des bots de sept lieues .
  • Quel est le saint préféré des SEO ? Saint-PR (après tout il détient en partie les clés du paradis)
  • Quelle est la différence entre Houdini et un référenceur ? Houdini lui peut échapper aux liens.
  • Comment appelle-t-on un MFA en chute libre dans les pages de résultats ? Un accident d'adsenseur.

20/11/2009

Sous-titrage automatique des videos Google, et éventuel impact sur le référencement

Google proposait déjà depuis un certain temps d'adjoindre des sous-titres aux vidéos publiées sur Google Video et Youtube. Désormais, et c'est un grand pas en avant, Google est en mesure d'assurer un sous-titrage automatique (multilingue qui plus est) des vidéos, en utilisant les technologies de reconnaissance vocale développées pour Google Voice. Jusque ici, cette technologie n'était mise en oeuvre que de façon très restreinte, par des moteurs spécialisés tel que Blinkx.

Ne nous emballons pas : pour l'instant, le sous-titrage automatique n'est disponible que pour certaines sources sélectionnées, cela afin de tester son efficacité. Mais la fonctionnalité devrait à terme être étendue à l'ensemble des éditeurs de vidéos.

Maintenant, quels pourraient être les impacts possibles en matière de recherche d'information et de référencement ? En effet, on imagine mal que les données obtenues ne soient pas exploitées pour améliorer les capacités de recherche du moteur (et de ciblage de la publicité au passage).

Aujourd'hui, l'optimisation du référencement des vidéos passe surtout par le choix des titres et des tags, ce qui est assez basique. Demain, il est probable que le contenu même des vidéos soit pris en compte pour juger de la pertinence d'un contenu. Cela devrait rendre la recherche bien plus précise, et moins sensible au spam. Cela donnera aux producteurs de contenu un peu plus de travail aussi : il faudra bien choisir ses mots, articuler suffisament, et s'assurer que les flux audio soient d'une qualité suffisante pour bien être transcrits par les moteurs. Qui aurait pensé qu'un bon micro aiderait un jour au référencement ? ;)

Nouveau livre sur le SEO : "Les 60 maximes du référencement"

Le livre de Maxime Grandchamp intitulé "Les 60 maximes du référencement" (et préfacé par votre serviteur) est désormais en vente sur le site de l'éditeur, ainsi que sur Amazon avec un petit rabais ;)

La forme de l'ouvrage est très... informelle. Pas de sections, sous-sections et autres alineas dans cet ouvrage. Non. Maxime a au contraire opté pour des causeries, introduites par des citations d'auteurs aussi divers qu'Albert Camus, Francis Blanche, Guy Bedos ou Woody Allen. Le résultat est un livre sur le référencement à la fois original, accessible et agréable à lire.

29/10/2009

Le Pagerank est bien vivant (si si)

Annoncer la mort du PageRank est de bon ton actuellement dans le milieu du référencement. Il est vrai que la suppression de l'affichage de la répartition du PR dans l'interface Webmaster Tools semble aller dans ce sens.

Mais il n'en est rien. La vérité est qu'aucun moteur ne peut faire l'économie de mesurer la popularité des pages web. Abandonner le PageRank signifierait un retour à l'époque d'Altavista, où seuls les critères on-page étaient pris en compte (et joyeusement abusés). Si Google avait effectivement abandonné le PageRank, croyez-bien que les pages de résultats du moteur eussent été chamboulées. Le fait est que la popularité mesurée en termes de liens est bien un indicateur de pertinence. Cet indicateur n'est pas le seul à considérer, et il ne l'a jamais été. Le PageRank n'est pas non plus fiable à 100% et peut être manipulé. Mais entre deux pages à la pertinence similaire, la popularité continuera de faire la différence. C'est cela qui explique que les sites populaires soient avantagés dans les secteurs concurrentiels. Croire que le PageRank est mort parce qu'il n'est plus visible revient à croire que le petit lapin blanc disparaît quand le prestidigitateur le fait passer derrière le foulard.

Google dans un billet du 16 octobre a d'ailleurs réaffirmé l'importance des liens entrants : "S'il est vrai que le linking est un facteur significatif dans l'algorithme Google, ce n'est qu'un facteur parmi d'autres". Le PageRank demeure donc ce qu'il a toujours été : un élément potentiellement determinant de la visibilité d'une page mais non exclusif, la pertinence du contenu étant la première prise en compte.

Edit : La dernière étude SEOmoz abonde d'ailleurs dans ce sens. En résumé : les liens pousseront votre site vers le haut, de même que des balises <title> correctement optimisées. Les metas ne servent à rien (ce n'est pas un scoop, mais au moins c'est prouvé). Aucun facteur considéré isolément ne peut par contre servir à prédire un positionnement.

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